Le pire n’est jamais certain mais s’y préparer chaque matin au réveil, peut, s’il ne s'est pas présenté nous avoir fait passer une bonne journée, certes ce n’est qu’a posteriori que nous le constaterons mais quel bonheur alors de se coucher en de bonnes conditions …
Ceci posé, la « préméditation au malheur » est un exercice périlleux !
Et en cadeau cette petite phrase de Montaigne que j’apprécie tout particulièrement :
« Courir après alors que nul n’est arrivé à Soi »