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27 décembre 2011 2 27 /12 /décembre /2011 09:49

 

 

 

 

La lucidité a un coût, celui de ne pas pouvoir jouer dans la même cour que la plupart

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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25 décembre 2011 7 25 /12 /décembre /2011 18:24

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C’était comme un désir,

Qui s’expansait, enflait.

Une folie de vivre

La toute puissance des impossibles,

Telle une gourmandise.

 

Dire, bousculer, sans se figer

Crier à clarifier les mots comme les actes

Etre debout et renier les règles,

Celles qui tuent à coup de certitudes figées.

 

Il refusait cette insolence faible

De ceux qui au fond n’ont rien à dire.

Lui improvisait, hors du connu,

Du sens commun

Loin des sentiers battus.

 

Il osait poser sa singularité,

Même fragile,

Et croyait en la grâce.

Rien disait-il ne doit se réduire à la médiocrité.

 

Au contraire, il visait l’extraordinaire,

Le mystère à percer d’une existence

Désirante,

De mots d’amour,

De regards,

De je t’aime,

De je vous aime.

 

Il voulait des relations passionnées,

Comme une beauté fragile qui touche

Telle une intensité vivante.

Et y croire,

Puis s’ouvrir, offrir,

Ne rien cacher, ne rien voiler.

 

Il se disait relié, sans effort,

Et marchait sur son propre chemin

Dans un temps à lui,

Sans écarter l’Autre,

Comme une élégance.

 

 

 

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24 décembre 2011 6 24 /12 /décembre /2011 08:58

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Le connu, même quand médiocre, est toujours plus confortable que l'inconnu ! cet aspect fait que le changement est toujours source d'angoisse entraînant de fait à l'immobilisme, au laxime, à l'acceptation passive !

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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 17:12

 

 

 

 

 

 

 

3ibata7w

 

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23 décembre 2011 5 23 /12 /décembre /2011 15:17

 

Écrire c'est tenter de savoir ce qu'on écrirait si on écrivait – on ne le sait qu'après – avant, c'est la question la plus dangereuse que l'on puisse se poser. Mais c'est la plus courante aussi. »

Marguerite Duras, Écrire

 

 

AU RISQUE DE L'ECRIT

Danièle CUILLERET Psychologue clinicienne, Psychanalyste
Montpellier

Cette journée sur l'écrit est arrivée à un moment où, après avoir travaillé en cartel le fantasme dans la littérature, puis la place de la parole, mon regard se tournait vers celle de l'écriture, de l'écrit. Ecrire, lire fait partie de notre quotidien. Quel est le rôle de l'écrit, de l'écriture? De ces mots que nous inscrivons sur le papier? Pour Lacan, "Une écriture, comme le rêve lui-même, peut être figurative, elle est toujours comme le langage, articulée symboliquement" (Les Ecrits p 47). Mais l'écrit et l'écriture ne sont-ils pas avant tout le quotidien des écrivains? Ne sont-ils pas les mieux placés pour en parler? Lacan disait de Marguerite Duras, elle "s'avère savoir sans moi ce que j'enseigne". Des auteurs et deux romans ont attiré mon attention, "Ecrire" de Marguerite Duras et "Les mots" de Jean-Paul Sartre. Je vais tenter, avec l'aide de certains écrivains, de mieux cerner la symbolique de l'écrit et de l'écriture. J'ai cherché des citations pour me soutenir un peu.

- Marguerite Duras : "Si on savait quelque chose de ce qu'on va écrire, avant de le faire, avant d'écrire, on n'écrirait jamais. Ce ne serait pas la peine… L'écrit ça arrive comme le vent, c'est nu, c'est de l'encre, c'est l'écrit, et ça passe comme rien d'autre ne passe dans la vie, rien de plus, sauf elle, la vie".

- Jean-Paul Sartre : "dès mon premier roman, je sus qu'un enfant s'était introduit dans le palais de glace. Ecrivant, j'existais…".

- Nathalie Sarraute : "Ce que nous ressentons n'est inscrit nulle part".

- Roland Barthes : "L'écriture se développe comme un germe non comme une ligne, … elle menace d'un secret, … elle intimide".

Une trace

L'écriture c'est une trace, "un travail de grattage" pour Serge Leclaire, "Une feuille volante" pour Jacques Lacan. Bien sûr que nous posons une trace sur le papier, il suffit de voir, dans les institutions, le nombre de cahiers de liaison, notes diverses… qui circulent. Traces de l'encre sur le papier, traces "physiques"? Mais qu'en est-il de cet écrit pour celui qui écrit? "Les paroles s'envolent, les écrits restent" dit-on. Il s'agit de traces sur le papier. Pour Lacan, "les paroles restent… Mais la lettre, elle, elle s'en va. Elle se promène toute seule". La trace, la trace de nos pensées, de ce qui se dit à travers les mots?

C'est un travail de soi à soi, une "tentative de reproduire ou de représenter le texte inconscient" (Serge Leclaire). Il suffit d'ailleurs de reprendre un texte déjà écrit pour se rendre compte que de l'ouverture est encore possible, ouverture - fermeture. C'est un écrit sans fin, "le nécessaire, c'est ce qui ne cesse pas de s'écrire" Lacan.

La perte

Quand on écrit, tout n'est-il pas fonction de soi? De notre histoire? De notre réel? L'écrit nous donne l'illusion d'être dans la réalité de nos pensées. Illusion salvatrice qui vient nous cacher ce Réel inquiétant toujours prêt à surgir.

-"L'écrit vient d'ailleurs, d'une autre région que celle de la parole orale. C'est une parole d'une autre personne qui, elle, ne parle pas" Marguerite Duras.

- "La littérature, comme tout art, travaille le réel, le réel particulier des mots, et le réel du monde pris dans les mots" Leslie Kaplan.

Les cris

L'écrit, que peut-on entendre dans ce mot? L'écrit - Les cris. Qu'est ce qui peut bien crier dans l'écriture? "Ma vie écrit / est cri" dit Marguerite Duras. Me revient alors en mémoire la phrase de Marguerite Duras : "Si on savait quelque chose de ce qu'on va écrire, avant de le faire, avant d'écrire, on n'écrirait jamais. Ce ne serait pas la peine… L'écrit ça arrive comme le vent, c'est nu, c'est de l'encre, c'est l'écrit". La phrase de Jacques Lacan prend alors sens dans mon esprit : "Une écriture, comme le rêve lui-même, peut être figurative, elle est toujours comme le langage, articulée symboliquement". Les Ecrits p 47. Bien sûr quand on écrit on crie, se crie ce que l'on est. L'écriture est, comme dit Roland Barthes, "une menace, elle menace d'un secret, elle intimide".

Le Manque - le Réel

Tout s'explique, la peur de la feuille blanche n'exprime-t-elle pas ce vide, ce manque présent en chacun d'entre nous? Ces pages écrites ne laissent-elles pas des blancs entre les lettres? Le code écrit n'est-il pas déjà en lui-même un masque? Voilà donc ce Réel, ce grand Autre que nous cachons sous un amas de sédiments appelé le refoulement.

"L'activité d'écrire se donne comme une tentative de reproduire, de re-présenter le texte inconscient ; tentative dont l'échec est toujours présent". Serge Leclaire.

"Le mot est une présence faite d'absence". Jacques Lacan.

"Le mot n'est pas signe, mais nœud de signification". Jacques Lacan.

L'écriture nous sert d'outil pour apprivoiser notre Réel, pour compenser notre Manque. Clairement visible dans la littérature, c'est celui que j'utilise aujourd'hui. Dans notre jargon de psychanalyste, cela s'appelle la sublimation ; Parfait, mais méfions-nous de l'écrit, surtout quand il concerne l'autre, notre histoire risque d'infiltrer la sienne.

Le Pas-Tout

Ecrire ce que l'on pense, ce que l'on voit, ce que l'on sent… les idées sont sur le papier - par moment, tout nous semble clair et posé mais ce n'est qu'un "travail de grattage", nous dit Serge Leclaire, "qui tente, sans y arriver, de mettre à jour "le corpus inconscient"". "Les écrits emportent au vent les traites en blanc d'une cavalerie folle", constate Lacan. L'écrit "est là, et il n'existe qu'en tant que langage, il est la feuille volante… La dette ineffaçable " (Lacan) qui ne féconde pas nos actes par ses transferts. Le plaisir, le désir d'écrire ne fait-il pas référence au désir du tout, jouissance sans cesse renouvelée face à ce tout jamais atteint?

"On n'écrit pas parce qu'on ne se parle pas, … parce que "ça ne se parle pas"La pratique de l'écriture vient prendre en charge la jouissance toute spéciale qui relèverait de ce champ du "pas-tout" s'il pouvait s'articuler d'une autre fonction que celle à laquelle précisément tous sont soumis. Or c'est justement ce que tente l'écrit". "S'excrire" de Jean Paul Gilson.

La lecture de l'écrit

Quand on écrit, on se risque car une écriture ça se lit. Leslie Kaplan, psychalyste à la prison d'Avignon, pose qu'"il y a des styles qui permettent "le saut" comme l'écrit Kafka, le saut, la séparation avec "le monde des assassins", d'autres qui répètent, ressassent, enfoncent, mortifient". Mais ces traces que nous n'arrêtons pas de mettre sur le papier sont livrées à la polysémie interprétative du lecteur. Le lecteur en lisant met de son inconscient, de sa voix. Pour Serge Hajlblum, dans "Lire et entendre Lacan", "le clivage absolu entre l'écrit et la voix n'est pas tenable. Il y a un jeu entre eux... Voilà qui renvoie bien l'écriture à un éclat : un éclat de lire... Lire, c'est aussi rendre de sa voix à l'écriture qui s'en produit... Quand le lecteur lit, à savoir quand le lecteur octroie cette qualité d'écriture, il y donne de sa voix à lui, mais certainement pas n'importe comment : il interprète… Mais c'est aussi interpréter l'interprétation de voix : de sa voix à lui, lecteur, mais aussi de la voix, bien étouffée si ce n'est de pas de réalité, dont l'auteur a voulu se soutenir et se déprendre en même temps par la lecture/écriture".

Conclusions

Ce travail sur l'écrit, d'abord posé par écrit, ce "travail de grattage" difficile, je comprends seulement aujourd'hui pourquoi il a eu tant de mal à me satisfaire. Il s'est apaisé, par le jeu du transfert, dans la communication orale. Comment en quelques mots le résumer? Je me contenterai de poser quelques citations et quelques idées :

- "L'écrit vient d'ailleurs, d'une autre région que celle de la parole orale. C'est une parole d'une autre personne qui elle ne parle pas". Marguerite Duras.

- "Le mot est déjà une présence faite d'absence" Lacan.

- "C'est un travail de grattage qui tente, sans y arriver, de mettre à jour "le corpus inconscient"" Serge Leclaire.

- "Plût au ciel que les écrits restassent, comme c'est plutôt le cas des paroles : car de celles-ci la dette ineffaçable du moins féconde nos actes par ses transferts. Les écrits emportent au vent les traites en blanc d'une cavalerie folle". Lacan

L'écrit est un cri, cri de celui qui écrit. C'est une trace toujours marquée par la perte, le manque ; l'écriture assurant en même temps une fonction d'ouverture et de fermeture. Quand l'écrit est lu, il s'agit toujours d'une lecture à deux voix : celle du lecteur et la voix étouffée de celui qui a écrit. Cette analyse ne doit pas nous empêcher l'écriture ouverture, source de désir, de plaisir. Confrontons nous donc "au risque d'écrire" tout en gardant à l'esprit que notre écrit est traversé par notre histoire, que le tout dit n'existe pas et que sa lecture sera toujours soumise à une polysémie interprétative. "Il me semble, je l'avoue, que j'ai écrit bien des choses inutiles", confie Hippolyte dans l'Idiot de Dostoiëvski.

BIBLIOGRAPHIE

DURAS Marguerite "Ecrire"

GILSON Jean-Paul "S'excrire"

LACAN Jacques "Encore" - "Les Ecrits"

SARTRE Jean-Paul "Les Mots"

 

http://psycause.pagesperso-orange.fr/030/030_au_risque_de_l_ecrit.htm


 

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18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 18:41

 

 

 

 

 

Elle te dira que le temps c’est la légèreté de l’instant sans les mots et que pour cela le soleil en éclabousse l’horizon comme des ardillons qu’il lance en rideaux de feu, elle t’apprendra que la lune est une mare où se mire juste ton reflet changeant aux fins des souvenirs de ces riens, elle plie des rires en frisottis et replie ses ailes en d’autres rêves de roses blanches, et tout ça pour que les peaux que tu portes se transforment en peau de légèreté, oui, c’est pour toi qu’elle tisse la chair qui te sied.
Et lui sans tain pour lire ses âges, il rira, il frémira sous l’éphémère et ses mains se tendront vers elle, ou pour lui, et que tout commence alors sous le soleil et il appellera de sa voix l’amour calme du matin nouveau.
Et son cri formera un ciel bleu nuit, pour faire danser les étoiles, pour qu’une ronde parfaite encercle le vif du monde, et avec ça aussi, on les verra tous se lever et se danser en cercle et se parler avec oui et tout cela dans le temps qu’elle aura créé, sans raison, sans détermination.

 

 

en réponse à http://pant.savarts.com/2007/03/19/climat/

 

 

 

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18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 11:23

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Y'à pas à tortiller, la réalité est nulle et c'est comme ça !

La vraie vie c'est une chienlit, même qu'on se demande pourquoi on a échoué là bêtement et en prime sans rien demander ! ça te colle à la peau dès le départ, tu sais que tu vas manger, c'est écrit, Mektoub disent certains ! moi je dis pas de bol ! et le mek même toub s'en fout !

La vie est crue, elle ne s'embarrasse pas de fioritures et de toutes façons s'est définitivement maquée à la mort, c'est comme ça ! personne n'y peut rien et c'est pas la peine de fantasmer, ya pas de vie éternelle après la mort, dans des champs tout verts avec des zoziaux qu'on comprendrait ce qu'ils disent ! ya rien ! néant, nada ! Moi j'ai beau appeler ceux qui m'ont lâchée, personne ne répond ! pas un, même pas ceux que j'ai aimés, enfin aimer, je sais pas trop, peut-être ! ça aussi l'amour, encore une belle fumisterie, un trompe l'oeil, pour faire croire qu'on va pas crever seul ! mais quoi ? Y-a-t-il seulement quelque chose qu'on ne vit pas seul ?

J'aime bien parfois -enfin vite fait quand même- le monde des bisounours, les petits coeurs comme ça dans les coins, ceux qui alimentent certains commentaires sur les réseaux sociaux, comme les super belles pensées, certes un peu bavouilleuses dégoulinantes, comme "que la voix du ciel vous accompagne" o la la mais si j'vous assure, c'est du véridique ! J'me dis que c'est rassurant de savoir qu'il y a des gens qui croient à tout ça, sûrement qu'ils vivent mieux que moi, la lucidité est toujours un handicap finalement, et sans excuse !

Moi, je regarde le monde tourner, je tourne d'ailleurs avec lui, forcément, et je pense que vraiment j'ai du commettre une erreur grave pour être là au milieu de tout ce fatras ! ah la béatitude, c'que ça s'rait bon ! Etre dupe, juste un peu, mais quand même, j'ai beau essayer, me débattre, batailler, j'suis plus proche de Cioran que de Ste Bernadette quand même .. Cioran qui écrit "Je sais que ma naissance est un hasard, un accident risible, et cependant, dès que je m'oublie, je me comporte comme si elle était un événement capital, indispensable à la marche et à l'équilibre du monde." voilà c'est ça, un hasard hasardeux, un insupportable accident, limite du lamentable, risible oui mais alors vite fait hein ? parce que je n'ai pas que ça à faire de me marrer bêtement ! et pis d'ailleurs l'enfer n'a jamais fait marrer personne ! Et comme dit l'autre, arrêtez de me secouer bordel (euhh non pas ce mot là ..), je suis déjà pleine de larmes .. ou trop trempée .. comme on veut ! pis d'ailleurs je cherche un parapluie .. si quelqu'un en a un ?

 

 

 

 

 

 

 

 

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18 décembre 2011 7 18 /12 /décembre /2011 07:25

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Que sont les mots du poète, ceux qui lui appartiennent en propre et en profondeur, sans muse et sans sécurité... l'artiste est celui qui, même vidé, étripé, déchiré, décliné, même seul, mais d'ailleurs chacun n'est-il pas définitivement seul, sait trouver les mots dans ses profondeurs même les plus obscures et les plus retirées, et en faire une poésie intime .. là les mots ne peuvent être mascarade !

 

 

 

 

 

 

 

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16 décembre 2011 5 16 /12 /décembre /2011 10:37

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Ça f'sait un moment que j’traversais des contrées

Un peu sauvages,
Un peu désertes, un peu étranges,
J’y croisais parfois quelques personnes, rares
Mais j’avais la rage en moi, alors j’leur parlais pas !
Seule j’étais bien, j’avais rien à partager pas même ma hargne,
Et d’toutes façons, ils comprendraient pas !
Puis un matin, genre ensoleillé, j’me suis écartée d’ma route,
Pour un chemin de traverse
Qu’est-ce qui m’a pris ce jour là ?
Une soudaine envie d’me dire,
de communiquer,
de partager
p’têtre,
j’saurais pas le dire vraiment
mais j’ai parlé de moi, l’autre a écouté, entendu,
puis répondu
puis j’me suis lâchée, me suis laissée bercer, caresser                  
par les mots, des mots à n’en plus finir
qui brassent du rêve et de l’espoir
et j’y ai cru, j’ai fondu,
et baissé ma garde,
puis j’ai aimé ça avec ma rage et ma hargne,
Furieusement, intensément.

Ça fait déjà un bout d’temps de ça

et il a coulé de l’eau dans les yeux depuis ct’histoire,
Mais les mots sont restés là
Bien à l’abri, oui, rien qu’les mots, mieux que rien.

Alors un matin, j’ai repris ma route vers ces contrées sauvages,
Un peu désertes, un peu étranges
Juste avec ma hargne,
Et aussi un p’tit bout d’amour dans ma rage.


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15 décembre 2011 4 15 /12 /décembre /2011 12:15

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J'ai l'imagination qui déprime !

Tout s'débine

 

ça mine !

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